play_arrow

keyboard_arrow_right

skip_previous play_arrow skip_next
00:00 00:00
chevron_left
volume_up
chevron_left
  • cover play_arrow

    TROC RADIO L’accent afro-canadien

À la Une

Vie estudiantine: s’entasser pour économiser

today01/09/2023

Background
share close

L’étude réalisée par l’UTILE souligne deux problèmes majeurs auxquels sont confrontés les étudiants locataires à Montréal. Tout d’abord, la hausse significative des loyers au cours des deux dernières années a rendu les logements étudiants de plus en plus inabordables pour une grande partie de la population étudiante. En effet, près de la moitié des locataires étudiants ont un revenu annuel inférieur à 20 000$, ce qui rend difficile le paiement des loyers élevés.

Deuxièmement, cette hausse des loyers a poussé certains étudiants à opter pour la colocation dans des appartements de petite taille. Environ 10% des étudiants locataires sont au moins trois à partager un logement avec une seule chambre fermée. Cette nouvelle tendance montre la volonté des étudiants de réduire leurs dépenses en partageant des logements plus petits.

La situation à Montréal n’est malheureusement pas un cas isolé. La pénurie de logements et l’augmentation des loyers touchent également d’autres régions du Québec, telles que l’Estrie et l’Outaouais. Cela souligne l’ampleur du problème et l’impact sur les étudiants de toutes les régions qui choisissent d’étudier à Montréal, représentant environ 30 000 étudiants chaque année.

Il est essentiel de prendre des mesures pour remédier à cette situation, notamment en construisant une offre de logements étudiants abordables à Montréal. Cela aurait des effets positifs non seulement pour les étudiants, mais aussi pour les familles québécoises qui envoient leurs enfants étudier dans la métropole.

Written by: C2D

Post comments (0)

Leave a reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *