QUÉBEC RECRUTE MASSIVEMENT LES INFIRMIÈRES AFRICAINES

L’embrigadement de l’occident de ressources humaines en santé dans un pays en voie de développement pose de sérieux problématiques éthiques. Le faite pour le Québec d’attirer des travailleurs étrangers ne sont pas toujours bien vus de l’autre coté de la clôture. Marie Monique rasoazananera ministre de l’enseignement supérieur malgache, a d’ailleurs martelé dans un point de presse s’inquiéter de faite qu’il soit quasi impossible de faire revenir des jeunes qui ont eu des diplômes, l’environnement et un certain confort de ce coté de l’occident. Les ambassadeurs Marocain et Béninois parlent de pompage cynique et de perte sèche de ressources humaines spécialement dans le secteur de la santé.

L’ambassadrice Marocaine Otmani dit comprendre que les raisons qui peuvent pousser certains compatriotes de s’exiler telles que : l’envie d’une carrière prometteuse, une meilleure rémunération, une meilleure qualité de vie… mais que le débauchage et les recrutements jugés abusifs posent des problèmes de moralité et d’éthique au vu du faite que les recruteurs vide des écoles et hôpitaux au déboire du pays. Avis controverser de faite que certains travailleurs d’origine africaine trouvent meilleurs les conditions de travail au Québec comparé dans leurs pays d’origines. Le gouvernement québécois le sait et depuis la fin de la pandémie, il s’est lancé dans de grandes campagnes de réduction dans les pays d’Afrique francophone.

Le code de pratique mondial de l’OMS pour le recrutement international des personnels de santé stipule pourtant que les États « devraient décourager le recrutement actif de personnels de la santé originaires de pays en développement confrontés à des pénuries aiguës de personnel médical. » l’OMS réclame que soient rapidement effectuées une révision et une extension des mesures de sauvegarde contre l’activité internationale de recrutement au vu de la pénurie de main d’œuvre du personnel soignant dont souffrent les pays en voie de développement. L’expérience a tout de même montrer que, après l’obtention de leur diplôme au Canada, il est beaucoup plus facile pour eux de rester au grand dam de leurs pays d’origines qui voient partir ces jeunes talents.