À la suite de la décision de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de déclencher son plus haut niveau d’alerte pour lutter contre cette maladie, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a publié un communiqué dans lequel elle promet de continuer de collaborer avec les provinces et territoires.
«Depuis le début de l’épidémie, la priorité absolue du gouvernement du Canada est de protéger la santé de tous les Canadiens», soutient l’ASPC.
Jusqu’ici, le Canada recense 681 cas de variole simienne dépistés dans cinq provinces. Ottawa s’attend toutefois à ce que le nombre de cas continue d’augmenter au cours des prochaines semaines.
Voici sept mesures prises par l’ASPC pour lutter contre la variole du singe au Canada :
– Fournir du matériel de contrôle et des protocoles aux provinces et territoires pour favoriser un dépistage décentralisé, la tenue d’enquêtes sur les cas et la gestion des éclosions.
– Financement annoncé pour soutenir les organisations communautaires des régions les plus touchées, pour informer rapidement la population sur les façons de se protéger.
– Sensibiliser les populations les plus à risque en collaborant avec les organisations non gouvernementales, les médecins hygiénistes en chef et les communautés touchées.
– Offrir aux responsables de la santé publique et aux intervenants les outils nécessaires pour gérer les cas.
– Informer régulièrement la population sur l’épidémie grâce à des rapports publics et via le site Canada.ca/variolesinge
– Exercer un leadership pour améliorer la compréhension générale de la maladie et de l’évolution de la pandémie, en mobilisant des experts et en divulguant les preuves scientifiques.
– Le Centre des opérations du portefeuille de la santé et le Centre des opérations du Laboratoire national de microbiologie ont tous deux activé le niveau 2 pour soutenir la réponse à la variole simienne et aider au dépistage.
Source: TVA Nouvelles
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