Selon une demande d’accès à l’information, déjà quelques bébés seraient nés de cette technique, qui a été approuvée au Royaume-Uni en 2015. Lors d’un don de mitochondrie, plus de 98,8 % de l’ADN proviendrait du père et de la mère initiale.
«Ça va être intéressant de voir à quel point la technique fonctionne sur un niveau pratique, si les bébés sont exempts de maladies mitochondriales ou s’il y a des risques qu’ils développent des problèmes plus tard dans leur vie. Et si ce sont des femmes, si leur progéniture est à risque de développer la maladie», a indiqué le professeur Robin Lovell-Badge, chef de groupe senior à l’institut Francis Crick de Londres, au média anglais.
Un premier bébé né de l’ADN de trois parents avait vu le jour de parents jordaniens au Mexique en 2016, après que la mère ait souffert du syndrome de Leigh, qui provoque des difficultés de motricité et qui se transmet à l’enfant au travers de mitochondries.
Source: Le journal de Montréal
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