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L’Association des Premières Nations et le chef de la police inuit du Québec poursuivent le gouvernement fédéral devant la Cour canadienne des droits de la personne pour sous-financement de leurs services de police. La décision a été prise de poursuivre Ottawa en justice ensemble, selon 22 chefs de police, après avoir constaté le chaos qui persiste depuis des années dans la résolution de la situation. Selon notre contrat avec la Sécurité sociale Canada, nous devons offrir des services de base qui sont offerts à tous les citoyens du Québec et du Canada.
Malheureusement, le budget et les conditions actuelles ne nous permettent pas d’atteindre ce niveau, a déclaré Shawn Dulude, président de l’Association des directeurs de police des Premières Nations et inuits du Québec.
Résultat : Les policiers ne réfléchiront et n’interviendront que la nuit, quand ils seront par deux, le matériel utilisé par les policiers est vétuste, y compris les gilets pare-balles dans certaines villes, la question salariale est et c’est évident car ils ne nous laissent garder les meilleurs du recrutement. Aucune équipe de police n’acceptera que ses agents portent des gilets pare-balles en patrouille. Il y aura aussi des moyens de rivaliser. Cependant, cela se produit dans certains pays. C’est ce choix, ou vous ne portez rien pour votre sécurité. Pourquoi devrions-nous accepter cela ?, dit le chef Dulude à travers un exemple.
Dans une situation où la police est dans une course pour attirer le meilleur personnel pour combler les pensions de ses rangs, nous n’avons pas l’argent pour offrir un salaire compétitif par rapport à l’organisation policière qui a beaucoup d’argent. notification. Une déclaration de Shawn Dulude, président de l’Association des directeurs de police des Premières Nations et Inuits du Québec . Selon les 22 dirigeants de la Police autochtone du Québec, le manque de services adéquats de sécurité publique a également des conséquences dévastatrices sur le développement et la santé publique des Premières Nations du Québec et du Canada. Il suffit de parler de violence domestique ou d’abus d’alcool dans certains domaines. Ce tribunal cherche à garantir que les droits de toutes les communautés soient respectés en tant que responsabilité du gouvernement fédéral de fournir des services adéquats et adéquats pour répondre aux besoins des citoyens de la communauté. Une déclaration de Shawn Dulude, président de l’Association des directeurs de police des Premières Nations et Inuits du Québec.
L’Association des secouristes et les chefs de police inuits du Québec estiment qu’il manque actuellement plus de 200 policiers à travers le Québec pour assurer les services de sécurité publique 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Il y a environ 400 agents de la paix, reconnus par la Loi sur la police, dans les 22 communautés des Premières Nations.
Seize des 22 municipalités financent leur propre force de police sans le soutien du gouvernement. De toute évidence, les chefs de police sont impatients face à ce qu’ils considèrent comme une inaction fédérale. À cet égard, comme le rapporte le Défenseur public du 4 octobre, il reste encore un long chemin à parcourir. Sur les 13 recommandations répertoriées en 2019 pour la police, une seule a été mise en œuvre avec succès : la production de rapports de situation ; une autre histoire !, le tonnerre de M. Dulude. L’Association des chefs de police des Premières Nations et Inuits du Québec appuie sa demande par les articles suivants :
2000 – Rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones;
2007 – Rapport de la Commission d’enquête sur Ipperwash;
2014 – Rapport du vérificateur général du Canada;
Written by: C2D
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