Le dur labeur des cultivateurs africains au Québec

Avec pour but de s’enraciner dans le milieu agricole québécois malgré tous les défis que cela comporte, les cultivateurs venus d’ailleurs plus précisément d’Afrique, n’ont pas réellement la vie facile car selon les données de la fédération de la relève agricole du Québec, les terres agricoles coûtent environ 10% de plus par année depuis la pandémie, et devenir cultivateur de son propre lopin coûte 10 fois plus cher qu’il y’a 25 ans. Il est donc difficile sans patrimoine familial de se lancer dans ce secteur d’activité.

Alors que dans le passé, malgré l’appétit des québécois pour les légumes d’ailleurs augmentait sans cesse, le découragement par le manque de fraicheur des produits tout de même au rendez-vous; aujourd’hui, malgré la dizaine de producteurs immigrants qui s’exercent à fournir aux populations des produits frais et de qualités, ils déploient parfois le déferlement de la nature mais également le manque de subventions.